Le ballon a en quelque sorte une fonction de miroir. L'électronique embarquée est alimentée en énergie par un panneau photovoltaïque. Les débits proposés "sont équivalents à de la 3G, et chaque ballon (de quinze mètres de diamètre) permet une connexion sur 40 km autour de lui »
Contrôler la trajectoire des ballons
La principale difficulté est de pouvoir contrôler la trajectoire des ballons pour éviter qu'ils soient ballottés au gré des vents, et de les positionner au-dessus des zones souhaitées. Le groupe indique avoir élaboré un système pouvant contrôler la trajectoire des ballons : « Grâce aux énergies solaire et éolienne, nous pouvons modifier leur altitude pour qu'ils utilisent les vents que nous souhaitons. »
Et aucun risque qu'un avion se retrouve nez-à-nez avec des ballons: ceux-ci évoluent "de façon très sécurisée, deux fois plus haut que les avions de ligne" et leur position est signalée aux autorités aériennes.
Après la Nouvelle-Zélande, l'idée est d'élargir l'expérimentation à des pays se trouvant également le long du 35e parallèle sud, comme l'Afrique du sud, l'Uruguay, l'Australie ou encore le Chili. |